Thérapie Brève

Bien au contraire, dans les deux approches, on se sert du symptôme ou de la problématique que vous souhaitez aborder comme d’une chance à grandir. C’est juste qu’on ne va pas les mettre au travail de la même manière, du simple fait qu’on ne va pas en explorer les mêmes continents. 

Je vous en donne une illustration détaillée dans la vidéo, mais si on devait résumer la chose, on pourrait dire que ces deux thérapies travaillent soit à partir du champ de nos représentations, soit à partir de celui de nos affects. Comme ces deux aspects sont aussi liés que les deux faces d’une même pièce, en redonnant du sens à ce qui a été vécu, la psychothérapie apaise les émotions correspondantes tandis qu’en mettant au travail le vécu affectif, la thérapie brève offre une voie de remaniement à nos représentations. Il n’y en a donc pas une approche qui soit meilleure que l’autre. Elles sont tout bonnement complémentaires. 

C’est d’ailleurs ce qui permet d’aborder un nombre de problématiques extraordinairement vaste. La condition en est de garder à l’esprit qu’on ne peut pas traiter tous les aspects d’un problème avec la même approche, mais que chaque approche permet de mettre au travail une part non négligeable de ce problème. 

On parvient ainsi à travailler sur des thèmes aussi étendus que :

🔸 les peurs et les phobies
🔸 les troubles de l’anxiété, du sommeil, du comportement alimentaire…
🔸 les enjeux de stress post-traumatiques, les deuils pathologiques
🔸 les dépendances au tabac, à l’alcool, au cannabis, voire aux drogues dures…
🔸 les douleurs et pathologies chroniques, autant que l’accompagnement au processus de guérison d’une maladie.
🔸 les souffrances identitaires telles que le manque d’estime de soi, le manque de confiance en soi.
🔸 la préparation aux examens
🔸J’ai même eu la chance d’accompagner plusieurs femmes durant leur grossesse, et ce jusqu’à leur accouchement avec, là aussi, de très belles pratiques en hypnose évolutive notamment.